L'étude de l'ADN du sang sur le Saint Suaire montre qu'il s'agit de sang humain et que les profils génétiques ne concernaient qu'une seule personne de chromosome Y (masculin) dont les différentes formules sont celles d'un ADN sémite non arabe semblable à celui qui figure sur le suaire d'Oviedo et sur la Tunique d'Argenteuil.

Cette analyse n'a jamais été remise en cause par le milieu scientifique.
Sous les traces de sang, il n'y a pas d'impression d'image sur le lin, ce qui indique que le dépôt du sang est antérieur à la coloration de l'image corporelle.

Des photographies comparatives avec des étalons en ultra violet ont montré par endroit du sérum autour des taches de sang
les médecins Heller et Adler découvre de la bilirubine qui apparaît dans le sang dans le cas de très forts sévices corporels.

Il s'agit de sang du groupe AB. Pour répondre à une polémique non fondée qui affirmait que tous les sangs anciens évoluent vers le groupe AB, Gérard Lucotte, Docteur en génétique et Professeur à l'Ecole d'Anthropologie de Paris, montra scientifiquement que tous les sangs A, B et AB évoluent vers O s'ils sont altérés.
Anecdotique ou pas, lors du miracle de Lanciano il y a 13 siècles, l'hostie du prêtre s'est transformée en sang aujourd'hui conservé dans une ampoule, celui-ci est également du groupe AB.

Découverte de la différence entre le sang veineux et artériel par Andrea Cesalpino

 

 

Confirmation des connaissances sur la circulation sanguine et entre le sang "vif" d'un vivant et le sang "post mortem" par le chirurgien anglais Harvey.

 

 

 

Pellicori et Evans, chercheurs américains, mettent en évidence la présence d'une matière colorée entre les fibres de lin.

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Les marques de sang

1593

 

 

1628



 

 

 

1981

 

 

 

 

 

 

 

 

2005

 

 

 

 

 

2007

 

 

 

 

- Il s'agit de sang coagulé (empreintes localisées et nettes)i ayant suivi la gravité du corps.
- Les taches de sang ne portent aucune marque d'arrachement sur le linceul indiquant donc un temps de séjour du corps dans le tissu inférieur à 36 heures.
- aucune trace de métabolites témoignant d'une décomposition du corps
- Constatation de la différence de sang entre les plaies de la couronne d'épines (faites avant la mort) et la plaie du coup de lance post mortem.